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Le temps d'une vie

21 mars 2011

EmotiV & SentimentS

amoureux

 

 

Réfléchi avec ton cœur, non avec ta tête.

Vis ta vie comme tu le désire.

Prends des risques, au risque d’en souffrir.

Qui ne tente rien n’à rien !

 

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20 mars 2011

Mars, mois de routine mélancolique

 

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Bercée par la musique je me réveille tout doucement, c’est assez de ne plus écrire surtout lorsque mes amis n’attendent que cela.  Mais que vous raconter alors que ma vie n’est pas forcément très  folichonne ? Je me suis confortablement installer dans une routine qui m’exaspère, le mois de Janvier me semble très loin tout à coup, c’était celui des soldes. Le mois de Février fut celui des séances de cinémas à gogo et des rencontres.  Le mois de Mars ? Celui du néant, 21 jours dans une routine médiocre, soit deux semaines de disputes avec un proche, mais ça je voudrais l’oublier, ne pas en parler.

Mais allons donc, la vie n’est pas si moche que cela, aujourd’hui par exemple il fait si beau, un grand soleil de plomb et un ciel tout bleu, je sens que je vais ouvrir nos grandes baies vitrées au maximum et m’assoir près de la piscine pour rêvasser mais j’ai aussi envie de faire briller la maison, faire du sport, préparer des crêpes, prendre mon appareil photo et bombarder la vie sur du papier imagée. J’ai envie de lire aussi, de relire et de rerelire.  Le rouge et le noir de Stendhal, Les hauts de Hurlevent ou des romans bien plus basiques, du Marc Lévy par exemple avec son 7 Jours pour une éternité.

Je ne sais pas ou ce situe mon humeur tout compte fait, elle oscille comme une boussole.                                               

J’ai besoin d’air, de respirer, de m’en aller.                                                                                                                  

Je vais surement prévoir ça au plus vite dans la semaine, une longue balade comme je sais les faire, la fois ou j’avais été à Draguignan pour un rendez vous professionnel et ou j’avais été obligée de reprendre le bus m’avais bien plu, mais je me contenterais volontiers d’une balade plus simple  dans ma bulle.

Pour le moment je ne sais pas.

14 février 2011

Bouts de voyageuse.

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Ces visages qu'il suffit de voir une seule fois pour les oublier à jamais.

[Oscar Wilde]

 

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11 janvier 2011

Psychologie d'écriture, envies retrouvées

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J’ai l’impression que ma vie est sans repos en ce moment, ce qui est un peu contradictoire puisque je suis officiellement en vacances.

Ma formation est finie depuis le 23décembre au soir, pour fêter la fin de nos six mois et aussi nos examens nous avons organisées- les filles et moi - une soirée intimiste chez l’une d’entre nous. C’est dans un grand appartement, sous des lumières tamisées que nous avons pris un diner très gourmand composées de fines pizzas et d’agréablement bons litchis. Il y’eu du champagne et du cidre aussi pour arroser le fait de notre victoire.

Au cours de ces six mois nous avons appris une quantité de choses, je crois pouvoir aisément dire que je suis parfaitement au point dans tout ce qui s’approche des pathologies tel que entre autres : la maladie d’Alzheimer, La maladie de Parkinson, ou encore la Sclérose en plaques, ces maladies neurologiques qui touche en partie les fonctions cognitives du cerveau.

 Il faut dire que nous avons eu la chance de pouvoir être en contact permanent avec de vrais professionnels pendant ces six mois, et même si ce ne fut probablement pas tout les jours très rose, ce fut véritablement un enrichissement profond qui me fait dire qu’il n’y a pas véritablement besoin d’être en fac de Psychologie pour se dire professionnel.

D’ailleurs, petite anecdote, l’une de mes formatrices se moquait aisément de ceux qui allait sur le cursus présent, en avouant de façon véritable qu’il fallait être déranger du cervelet pour étudier dans ce dit cursus, je la crois volontiers ayant eu des contacts avec certains étudiants de Psycho. Mais après tout, pourquoi pas, il en faut bien pour tout les gouts. Soyons réalistes la majorité des psychologues psychiatres on dans leurs façon d’être et de penser une marginalité très précoce mais surtout pas commune, bref.

Après cette petite fête qui signa la fin de six mois de durs labeurs ce fut Noël, nous le passâmes en famille restreinte, puisque ma tante et mes adorées n’étaient pas des nôtres. Le repas fût simple mais exquis, des canapés et des toasts pour l’entrée, un plateau de fruits de mer pour le plat de résistance et des desserts glacés pour le dessert.

Nous ouvrîmes, mon frère et moi les cadeaux vers 22h 23h, j’eu une station d’accueil pour mon I-phone de mes parents, un peu d’argent  de ceux-ci, un bon d’achat d’une centaine d’euros pour une boutique de sou vêtements, au moins mon futur amour sera conquis – de ma grand-mère.  J’offris aussi, une écharpe Desigual à ma mère, un bonnet laine-coton pour protéger mon papa  du grand froid des heures  matinales, un portefeuille plus ou mois assez classe venant d’un maroquinier du centre ville. Sans oublier les éternels chocolats que nous nous offrîmes tous ensuite.

Le samedi qui suivit la veille de Noël fut passés chez mes autres grands parents à festoyer simplement dans le grand manoir qu’ils possèdent au-delà de la ville. Dans la semaine, je profitais de pouvoir rester au chaud à la maison et surtout je pu enfin récupérer des heures de sommeil que j’avais gâché la semaine de mes examens.

Le nouvel an se passa aussi en famille, préférant alterner un nouvel an sur deux les amis et la famille, l’année dernière j’avais été en boite fêter le passage en 2010, cette année j’avais juste envie d’être posée et bien au chaud, sans artifice quelconque. Et d’ailleurs je souhaite une bonne année à tous ceux qui suivent mon blog, anciens et nouveaux lecteurs.

Au final depuis, je profite toujours des vacances dont je dispose en même temps que je prends soin de moi. J’ai des tas de rendez vous que j’avais mis de coté le temps de ma formation, entre autres social, médical, professionnel et personnel et je compte aussi aller chez le coiffeur et chez l’esthéticienne, pour tout avouer j’irai bien aussi me baigner à la piscine municipale et me faire masser à la Thalasso.

Je peux enfin respirer, me dire que c’est terminé les levers à six heures. Mon esprit est apaisé, et j’ai repris les quelques projets  d’écriture que j’ai  en tête depuis mon adolescence, entres autres Le Journal Intime D’Emily Laureens, et cet ébauche d’histoire que j’avais commencer à écrire : Petite planète selon le nom provisoire que je lui avais choisi à l’époque, pour cette dernière qui me semble toujours aussi prometteuse, j’aurais voulu reprendre en contact avec B, ce garçon qui est aussi mon ex, à énormément de talent et il me semble qu’à deux nous pourrions faire quelque chose de vraiment concret et d’agréablement correct.

Et si ça met des années avant d’être terminer ce n’est pas si grave, du temps au temps, voilà la recette pour réussir.

     

25 novembre 2010

Farniente & Gourmandises

Il faisait grisâtre aujourd’hui, comme bien souvent ces derniers temps. Mon cœur lui, va mieux et mon esprit est ensoleillé, j’aurais cru pourtant que le souvenir des gens perdus m’aurait hanté, ne serait ce que quelques jours mais finalement même pas.

Je suis juste déçue du comportement des gens auquel j’aurais cru tenir, d’elle surtout, m’avoir traité souvent de cas social et de folle ne lui aura pas suffi, il eut fallu qu’une fois encore elle trouve un prétexte, une porte de secours et cela pour quoi ? Juste parce ce que j’avais fait une promesse à mes Adorées, manque de chance, j’en viens à ne plus éprouver de sentiments pour quiconque.

Ma seule erreur fut de connaitre cette demoiselle qui derrière une voie fluette et une maigreur hallucinante cache un monstre d’hypocrisie ahurissant, mais bref passons, c’est un volet de ma vie que j’enferme à double tour pour aller jeter à la déchetterie.

Après ça je dois passer pour une ignoble petite peste, effectivement, il ne faut pas jouer avec mes sentiments. Je ne prétends pas être plus intelligente, plus drôle, plus jolie, je suis humaine et je m’en contenterais volontiers, merci.

Aujourd’hui, pour quatre jours, je suis en vacances- week end et ce depuis avant hier. Avant Hier j’ai commencé mon troisième stage, la dernière ligne droite avant la fin de ma formation. Je pense qu’il est possible que ça me plaise, beaucoup. Accompagner les gens dans leurs besoins quotidiens est une chose assez valorisante je dois dire.

Ce matin j’ai fait un gâteau, avec la recette de Melle Louve, le gâteau crêpe badigeonné de chocolat que j’aurais au préalable fait fondre, j’ai aussi rajouté des éclats de chocolat et des cerises confites disposé en cercle sur le dessus. Je n’ai pas encore dégusté mais j’en suis assez fière, de toute façon je verrais bien.

Pour l’heure, farniente avec mon chat, ni plus ni moins.  

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19 novembre 2010

Raccourci de vie.

 

Une pince à cheveux en guise de guimbarde et la belle aux doux yeux, qui dans son bain lézarde, compose un peu par jeu mais aussi par mégarde les sons mélodieux d'une chanson paillarde... (et bien évidemment il est interdit de l'accompagner d'un instrument à bulles ;O)

Je ne reviendrais pas sur mon dernier post, ni aujourd’hui ni demain, ni jamais. Il existe des jours où tout va mal, ou on aurait envie d’en crever et je n’ai pas à me faire pardonner… si je devais en finir un jour, c’est forcément ce que j’écrirais en n’omettant pas mon meilleur ami, l’homme de ma vie mais ce n’est heureusement pas pour tout de suite. Que me passes-t-il par la tête ? Des joies, des peines et des soucis mais je suis trop lâche pour commettre un jour ce geste impardonnable, les anges attendront, je ne suis pas vaincue.

Je pense qu’il m’est droit de vouloir vivre, comme il m’est droit de vouloir parfois dire stop, je ne suis pas folle, peut être un peu injuste et égoïste mais je suis trop froussarde et trop attentive aux autres pour craquer. Le jour ou n’existera plus le faiseur de rêve, peut être que… mais pour l’instant m’appartient toujours le droit de.

Je ne ferais plus de projets d’avenir pendant quelques temps, renonçant à mes rêves ardents.     Parfois on ce dit «  ça saoule », deux minutes plus tard on pourrait dire que l’on a des amis lointains bien trop merveilleux. Le texte précédent n’est bien qu’un texte, ni plus ni moins.

Finalement nous ne choisissons pas vraiment ce que nous sommes et c’est toujours très hasardeux de dire ce que nous voudrions être, qu’attendais je il y’a un an, que voudrais ai-je aujourd’hui ? Il m’est irrémédiablement très difficile de coucher mes attentes, mes rêves ou mes désirs.

Je peux avouer aisément que ma vie amoureuse est compliquée, que l’amour nous tombe dessus sans qu’on sache s’en dépêtrer, qu’il faut savoir être patiente dans ce jeu là, même si parfois c’est difficile. Pour faire un simple, et pour ne pas trop en dire non plus je vais me tenter à expliquer cela comme une équation hasardeuse !

Ce fut simple, un beau jour une demoiselle qui n’avait rien d’une princesse rencontra un jeune homme qui n’avait rien d’un crapaud, ce jouvenceau appartenait au cercle de la toile, du virtuel et ne pouvait outre mesure pas rencontrer la jeune femme car il partait pour des contrées fort, fort lointaines le lendemain matin. Elle dût attendre très longtemps, au moins un mois avec qu’il revienne enfin a dos de chameau dans son petit village du sud est. Quand cela fut fait, un vendredi du calendrier du mois de septembre octobre ils se rencontrèrent enfin…

Et cela se passa magnifiquement bien et très chaudement, mais il n’existe pas de bonheur qui ne soit pas suivi d’un très triste malheur, et au retour dans son fief des sorciers juchés sur des dragons attaquèrent le garçon, le laissant à terre. Le jeune homme se battit avec force et courage mais il resta très choqués et finit par se poser milles et unes questions qui l’éloignèrent de la demoiselle.

La vie continua son court du temps, imperturbable aux souffrances des hommes. Le jeune homme et la demoiselle n’arrivait plus à poser quelques heures pour ce revoir, a la suite de disputes, de colères et de réconciliations succinctes,

Mais l’histoire n’est pas fini, elle ne le sera probablement jamais car le destin n’est connu que de force supérieure, dans ce cas là n’est bon que d’espérer.

Il est dur d’apprécier quelqu’un et de savoir que c’est réciproque, et de ne pas arriver à ce voir, à ce croiser par manque de temps. Parfois je stopperais bien là l’aventure et puis je me dis, non c’est trop bête d’avoir patienté si c’est pour tout foutre en l’air. Le garçon est de ma ville, de mon temps… je crois toujours, j’attendrai le temps qu’il faut, malgré les hauts et les bas.

En attendant j’ai passé deux jours à la caserne de messieurs les pompiers totalement hors du temps, j’aime l’ambiance qui règne dans ces lieux. Militaires et compagnie. J’en suis fascinée … et je me demande parfois si ce n’est pas une voie que j’aurais pu exploiter… Il n’est pas trop tard, cependant mais je sais que ce ne sera qu’une passion comme une autre, j’ai déjà un projet professionnel qui demande bien plus qu’un simple effleurement tâtonnant, ne soyons pas idiots, entre sauver des vies et aider les personnes en besoin constant, il n’y qu’un pas.

Pour tout résumé, je suis dans une période ou je rayonne intérieurement, malgré une vie sentimentale bien plate et une envie obsessionnelle de jouer à certains jeux en ligne, je resplendis de fraicheur malgré l’automne et ses incantations de fraicheurs. J’ai mis fin à certaines relations amicales qui n’en valait plus la peine cependant et ça me fait un bien fou, je les ai remplacé par de doux gentils hommes amener à être de très bons amis, j’espère.

Que dire d’autre, finalement ? Je ne vois plus rien, pour le moment. Ce soir je passe en mode Stargate Universe, enfin J

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7 octobre 2010

Lettre d'adieu

« Mes jeunes années d’insouciances, celles qui font regretter aux plus vieux, celles qui font que les adolescents font les plus belles conneries. Mes aïeux, savent Ô combien les belles conneries que j’ai faites, à croire que j’en suis fière, mais j’en suis fière de la plus belle des manières. Cependant tout doit avoir une fin et je n’ai plus vingt ans, ces années que je commence à regretter me font prendre conscience que cette fois je gâche vraiment ma vie.

J’ai envie de m’envoler loin, ce que je vais probablement faire à un moment ou à un autre et ce quand personne ne pourra s’en rendre compte, mais ne croyez pas, vous (ceux qui me liront,) que je vous oublierais J’espère que là ou j’irais ressemblera un peu plus au paradis dont je rêve… pourquoi je vous quitte ? C’est pourtant si simple, ou tellement compliqué… mon cœur souffre tant, j’ai si mal… tant que la vie n’as même plus de rivale… j’aurais voulu rester avec vous, vraiment, en vie comme on dit si bien … mais la vie ça sert a quoi …  je ne le sais même plus.

Ce qui me désole dans tout ça c’est que je n’aurais jamais connu le véritable amour, celui qui m’aurait p’tet fait vibrer, battre ce cœur malade qui me tient pour dit. J’aurais vraiment voulu trouver l’âme sœur mais depuis la dernière fois… quelque chose c’est brisé, à ce moment là et depuis chaque minute qui passe… et puis, on ne peut pas dire que mes amis aie fais grand-chose pour combler ce vide… je les vois, heureux et amoureux, en couple et avec des enfants… je les envies tellement à chaque fois. Ca me fait penser que ma vie est désertique, encore plus. Plus encore depuis que ma patronne m’a appelé, je viens d’être virée et sans ce travail, je perds mes projets d’avenirs, plus de cours, plus de passe temps, plus d’avenir…je perds ma place de travailleuse dans la société […]

Je viens d’aller dans le frigo, essayant de grignoter tant soit peu quelque chose de sucré mais tout est bien trop vite ressorti, je n’ose plus rien garder en moi, je vois la nourriture comme un vilain péché de gourmandise qui me ferait prendre dix kilos à la minute. Je les ai perdu pourtant ces kilos superflu... mais pour les autres ce n’est toujours pas assez … on ce moque de mes rondeurs, osant m’affubler de surnoms méchant et égoïste, je fais celle qui n’entend pas, pourtant je comprends très bien que lorsqu’on rigole à mon passage, ce n’est que de moi et de mon corps : petit et rondelet. Mais ce n’est plus si grave, j’écris cette lettre comme un synonyme d’adieu à tous ceux qui ont un jour commis des méchancetés. […}

C’est ainsi que je vais terminer cette lettre, ne m’en voulez pas,  surtout toi maman et toi papa, soit fort petit frère et garde toujours en tête que nous vivons une chienne de vie, profite en quand même et ne me pleure pas trop… un jour peut être tu me comprendras… j’aurais voulu être une grande sœur parfaite mais je n’en suis finalement même pas l’ombre du quart. Je t’aime pourtant et je t’aimerais pour l’éternité, je t’attendrais à tes vieux jours dans notre petit coin de paradis, je t’aime, pardonne moi.  Gardez en tête tout les trois que je vous aime et que malgré tout je suis triste que ça finisse comme ceci mais je ne peux plus, je n’y arrive plus et rien ne pourras plus jamais être comme avant… pardon… je vous aimerais de là haut, je m’assiérais sur les nuages d’un blanc cotonneux et je vous contemplerai… soyez heureux. Moi je le serais très certainement. »

La jeune fille quitta son ordinateur, ses cheveux châtains mal coiffés pendouillant lamentablement sur un visage ravagé par les larmes, son pull blanc taché de mascara et de fond de teint. Des pieds manucurés et des jambes rasés finement qui cependant ne tombait pas sans égratignures. Elle se dirige vers la salle de bain, elle sait comment elle veut en finir, farfouillant d’une main dans la pharmacie elle fermera de l’autre main la serrure à clef. Tout est prêt, les serviettes jeté au fond la baignoire, son dernier reposoir, comprimés avalé, beaucoup car au moins 1 boite vide, un peu d’alcool mais surtout la lame d’un rasoir... pour être sûre de ne pas en ressortir, la musique qui sort de son téléphone qui signale un appel sous la douce mélodie de Muse… de ces yeux embrumés, un seul regard mais trop tard la tête dodeline, un nom « Ale…»  La lame du rasoir s’approche et glisse, meurtrière sur la peau, le sang gicle et s’écoule mais la jeune fille n’est déjà plus là, elle vole déjà en compagnie des anges. 

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2 août 2010

Tourbillons de couleurs.

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Ce mois de Juillet devait se trouver être plus calme, étant entrée en formation le 28 juin. Pourtant je ne saurais ou donner de la tête lorsque je repense à ce tourbillon d’activités, j’aimerais dire qu’elles m’ont toutes été bénéfiques et ce chacune à leurs façons mais ça ne saurait être que mensonge malheureusement. Je ne me souviens pas des dates du commencement, tout sera finalement écrit en vrac et dans un curieux méthodique désordre.

Ce mois ci, j’ai du prendre une terrible décision, celle de dire adieu à un être cher, mais quand je pense qu’il était malade je suis convaincu que c’était le plus beau des cadeaux que je pouvais lui faire, ainsi libéré de ses souffrances l’ange à pu s’envoler loin de nous, pour vivre peut être un peu mieux ailleurs. 17ans de vie commune ne s’oublieront pas d’un simple claquement de doigts de toute manière et je peux toujours fermer les yeux pour imaginer son museau tout frais, son poil si dru, ses prunelles d’un bleu pailleté même si ce ne sera plus jamais pareil, évidement. Je l’ai aimé et je l’aimerai encore, peut être pour très longtemps, rien n’empêchera ton souvenir, pas même ta mort le 27juin.

Pour combler cette perte, une ironique petite coïncidence est survenue le week end précédent, une petite boule de poils c’est incrustée parmi nous pour atténuer un chouia la douleur, ce petit truc tout moche s’avéra être un bébé chat, une petite demoiselle de deux mois du prénom de Marley, en hommage au chanteur. Une idée du frangin. Elle nous amuse, jouant à tout va dans la maison, nous faisant rire aux larmes, bonheur.

Et puis, autre chose. Une présence nouvelle. Un homme, évidemment… rencontré tout à fait par hasard dans le centre ville au détour d’un coca et d’une menthe à l’eau, celui là même qui m’aura fait baver un jeudi soir en rentrant avec une amie de formation. Des regards qui s’accroche justement, des sourires, yeux bleu gris contre verts marron, un combat que j’ai très vite perdu… un homme que j’ai revu le week end suivant cette rencontre, puis celui d’après… celui qui recherche une histoire très sérieuse, celui qui est papa d’un petit bonhomme de trois ans que j’adore déjà et réciproquement. Le monsieur est un garçon du sud, de chez moi, une histoire qui donnerait envie à beaucoup, un jeune garçon très charmant. Informaticien, maçon, barmen, tout ça à la fois… j’ai craqué, je lui ai plu…  et la suite on va la créer donc on en reparle, en attendant…

Moi je suis en stage en maison de retraite, première journée bien effectué, il ne me reste plus cas me faire des idées dessus, mais pas de précipitations, j’attends que la fin de semaine arrive avant de. Pour le moment j’aime ça c’est le principal.

La fin du mois promet d’être merveilleuse, l’amour spirituel de ma vie débarque, mon meilleur ami squatte le sud… dix jours de partages, dix jours d’amitié… ai-je besoin de spécifier le besoin immense de le revoir, de le serrer contre moi, je tremble déjà de nervosité quant à ce qu’il va penser de mon univers, loin de tout ce qui est notre quotidien, nos habitudes dans la capitale. O Paris, pardonne-moi de te faire des infidélités, mais tu comprendras que je préfère finalement mon sud et ma vie ici. J’aimerais presque que monsieur l’ermite descende aussi, ça serait le rêve total. Et ça rappellerait de jolis souvenirs d’un antan pas si moche que ça. Sur ce je vais continuer de me reposer un peu, encore. Bonne soirée à ceux qui me liront.

17 juillet 2010

Et maintenant ... ?

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Il fait nuit, et chaud, préambule d’une nuit brulante... ça fait un bon mois que je n’ai pas écrit, manque de temps ou d’envie j’ai préféré patienter ou peut être retarder ce moment ou je coucherais mes mots sur la toile, tant de choses à dire, tellement de pensées à définir et des envies succinctes, à tuer dans le nid

J’annonce par le fait l’arrêt de mon trop court SOAP, une agression étant un jeu un peu trop violent pour moi, je préfère couper court directement, un coup, une claque, très peu pour moi, je veux être maitre de ma vie et non pas esclave. De plus, il aurait été incongrue de continuer à rêver, j’ai tourné la page dès mon arrêté au taf sur la plage, les deux acteurs sont plus ou moins sortis de ma vie, même si l’un deux restera probablement un bon pote.

Trois semaines en fin de compte que je bosse maintenant, entre cours et pratique, j’alterne régulièrement mais je me plais bien dans le cadre idyllique ou la formation ce passe, j’ai conscience que je joue a nouveau une partie de mon avenir, comme dans une partie de poker dont je ne suis pas sure du résultat. Pour un peu plus de détails : nous sommes sept demoiselles de tout âge et de tout horizons, nous sommes motivées et follement envieuse de côtoyer la piscine qui entoure le centre de vacances ou nous sommes (petit clin d’œil moqueur). Je m’entends bien avec les filles, l’une d’elle est venue passer un moment chez moi, je lui ai offert un grand panier rempli de fruits du jardin pour la remercier de me ramener pratiquement tout les soirs, elle les à finalement cueilli elle-même :).

Je mesure l’intensité du monde qui m’entoure, le peuple que j’aime côtoyer lorsque je me ballade en ville, celui ou celle qui s’installe à mes cotés lorsque je suis seule à la terrasse d’un café, j’aime ces instants de partage et de rires, ces instants fugaces qui font que je me sens vivre, heureuse. J’apprécie les inconnus qui manque de tact, ceux qui n’ont pas peur d’aller vers les gens avec simplicité, je crois qu’on aura compris je n’aime pas les arrogants, les nombrilistes, ceux qui croient que tout est dû, tout est acquis. L’humilité est mère de sagesse parfois.

Les amis de la plage ne vont pas tarder à revenir, enfin, il ma semblé que c’était bien long. J’apprécie car ils me considèrent vraiment comme une amie, pas simplement comme une nana qui était là au bon moment, j’aimais bien les suivre dans leurs délires, mélanger ma vodka sur de la red- bull pour fermer les yeux, m’envoler vers la lune, oublier, oublier … ma peine, mon tabac (J’ai eu mal à la gorge tout le mois a cause de cette merde) ma violence et ma haine, sans prélude, sans intermède.

Je tourne la page, c’est la dernière fois que je parlerais de ce qui s’ensuit, où même que j’y penserais bien que… une dernière fois ça voudra dire que je me mens. Je voulais, j’aurais voulu te dire que tout ce que je voulais c’était que nous soyons amies et vraiment j’aurais voulu te voir beaucoup plus souvent qu’une fois par mois.

J’aurais voulu être celle qui te faisait rêver, celle à qui tu aurais sans cesse pensé mais, tu à briser tout ça, tu m’as simplement gentiment dit que je ne te convenais pas, sans me connaitre vraiment, sans savoir, sans vraiment essayer.

Plus rien jamais ne sera comme avant, au-delà du temps, une vie c’est trop court, le peu qu’on pouvait avoir, on la gâcher, alors tant pis, tant pis. Je l’ai déjà dit, j’ai voulu continuer à vouloir essayer, des sorties j’en ai proposées, assez pour en avoir assez de faire face aux annulations, ce qui ma pris la tête définitivement c’est de ne pas avoir de news, de ne pas savoir si c’est bon ou pas, de… mais on ne va pas polémiquer, je ne vais pas polémiquer pardon, puisque une fois encore je serais la seule qui m’expliquerais, qui attendra une réponse.

Le sujet est clos je crois, va et pars, je te souhaite quand même d’être heureuse, si ta rien à faire un de ces week end qui reste, avant que tu ne t’en ailles, pense à la minable petite humaine que je suis.

Pour continuer à déblatérer, j’ai finalement reçu mon coffret de Stargate SG1 contenant les dix saisons et les trois films, j’ai croqué à pleine dent dans la saison 1 et j’ai vraiment kiffer à fond, c’était vraiment trop bon, vraiment agréable de revoir des épisodes que j’avais presque oublier, dénigrer au dépens de la dernière saison. Quand je les compare, je me dis que les effets spéciaux été presque encore mieux et encore plus grandiose, vraiment terrible. Ce que j’aime c’est visionner les épisodes à la chaine en mettant la clim fraichement installée au plus fort, un véritable plaisir que je prolonge en mangeant une glace ou un fruit du jardin selon mon humeur.

Je suis donc bien là, toujours et je ne crois pas avoir envie de quitter la toile de sitôt, évidemment mes connections vont ce faire plus qu’aléatoirement puisque avec ma formation, les examens, les copines et tout le tintouin ça en fait des choses mais je n’oublie pas mes vraies valeurs, celle de monter à Paris par exemple, rejoindre la ville que j’aime le plus au monde, voyager et vivre, rencontrer le grand amour, faire venir l’Amour de ma Vie et le câliner au plus possible.

J’ai envie de tas de choses, tenir mon album photo, continuer à mâter mes séries, profiter, profiter parce que c’est la seule chose à faire, la seule raison que nous les jeunes ayons. C’est pas à 50 ans que la vie va débuter, c’est maintenant, autorisons nous des folies, bientôt il sera temps de nous ranger.

23 juin 2010

Entre deux, mon coeur balancera. Et nous trois, on s'aimera.

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Je crois que le ciel aura répondu à mes souhaits bien plus que nécessaire, pourquoi me torture t’ils ainsi les anges ? J’avais demandé des tas de choses, des tas de petits bonheurs et jusqu’à là je n’étais que très heureuse, mais voilà le verdict est tombé et je ne pourrai pas simplement m’accorder une total dépendance à mes vœux accordés, il me faut choisir.

Pour bien comprendre l’état des choses actuelles, il me faudrait narrer les événements des deux dernières semaines, je m’étais principalement arrêter à cette soirée grandiose sur la plage où nous avions pût nous libérer de nos complexes, notre timidité et nos peurs les plus secrètes, l’alcool aidant évidemment.

Nous venions donc de passer une merveilleuse soirée et nous étions là le lendemain à nous trainer comme de grosses loques fatigués, je devais pourtant aller bosser et ce fut Jules qui nous amena à la plage, gentiment puis nous quitta, surement pour finir sa nuit.

L’après midi fut longue, très longue et tandis qu’un gamin d’une dizaine d’année me faisait des misères, on m’appela, se moquant gentiment. Devant moi se trouvait un jeune homme d’une vingtaine d’années, agréable à regarder, sociable et gentil, il m’avait plu dès la première fois, lorsqu’il était venu me demander de garder sa serviette rose bonbon.

Ma surprise bien présente se transforma vite en ravissement et je ne su plus donner de la tête, puisque entre temps j’avais mes amis, mes cousins et évidemment sa présence à lui, mais bien vite la fatigue repris le dessus, je devins irascible, car entre temps une amie passa et eu un comportement pas très joli à voir et bien qu’habituellement ça ne m’aurai pas choqué, voir sa culotte blanche sur des jambes écartées sur mon lieu de boulot ma un peu, comme qui dirait blaser, surtout avec les gens de la mairie qui passe assez régulièrement, en civil ou même en habit.

Pour en revenir au jeune homme, il ne fut que patience et agréabilité tout au long des quelques heures suivantes, il ne se formalisa pas de mon caractère râleur et de ma fatigue croissante. Le plus beau, c’est qu’il est revenu deux trois fois après coup, m’envoyant des textos et m’appelant aussi souvent que possible, je lui plais c’est indéniable et quelque part c’est amplement réciproque, j’aime sa peau et ses baisers on quelque chose de doucereux.

Le souci, c’est qu’il n’est pas le seul à me plaire, ça aurait été trop simple, beaucoup trop. Entre deux, mon cœur balance. Samedi soir je suis sortie avec Jules, on devait aller en boite mais après coup on est finalement restés chez lui, un grand loft très agréable. On à regarder la tv, jouer de la guitare, discuter et immanquablement été sur le net. Je me sens bien avec lui, il est correct et nous n’avons pas retenté de nous embrasser, malgré tout.

Alors je ne sais pas, j’attends sans doute de voir avec lui, avec eux deux, l’évolution de notre relation même si, de ce que je vois la balance fait des hauts et des bas en faveur de l’un ou de l’autre. L’amour, de tout façon, ou ce qui s’en rapproche ce n’est jamais très facile à comprendre et quoiqu’on en dise, je n’y suis pas une experte, alors quoi ? Combien de temps vais-je devoir supporter que mon cœur balance violement son dévolu sur l’un ou sur l’autre, en fait ça j’en sais rien, peut être lorsque ma raison mettra son grain de sel dans l’histoire, en attendant heureusement que la présence féminine d’Abi est toujours présente, une compagnie autre que masculine pour une fois ça fait pas de mal. Et comme je ne peut compter sur d’autres amies…

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