Les mots blessent plus souvent qu’une violence
Les mots blessent plus souvent qu’une violence physique, comme une évidence l’idée me prend. Bousillée je finirai sous les injures cachés, précisément ont ne peut plus parler sans se faire refouler, évités ou ignorer, indécemment je souffre, j’ai mal, tout l’or du monde ne peut rien y changer.
Baisers volés, caresses déviés nous jouons le jeu de la passion, non je joue car ce n’est plus qu’un jeu unique, je t’aime, toi non, un parfum de moi non plus. Je suis révoltée, énervée, excité, tourmenté, irrité mais aussi sauvage et surtout passionnée, ouais et si ça vous plait pas, ben là sortie c’est par là.
Je me consume lentement, peut être sûrement. Je pleure, encore, toujours, dans une vraie fontaine ardente. Les larmes coulent inévitables et un mal de tête inexpliqué et puis, et puis, et puis. Je suis seule, même quand je ne veux pas l’être, même quand je le suis. Je suis seul et il faut bien que je l’accepte