Je suis là devant une page quasi blanche,
Je suis là devant une page quasi blanche, cherchant mes mots, cherchant sans trouver mes idées, idées pas très claires… pire que le néant de l’espace, c’est le vide d’une âme, en l’occurrence la mienne.
Mes journées se passent, défilent comme une routine… les secondes découlent, les minutes s’égrènent, les heures filent et je ne peux absolument rien faire. Je ne suis qu’une spectatrice, celle de ma vie. Je voudrai changer être meilleure.
J’ai mal par instance, souvent et si peu à la fois, j’ai si mal parfois et un peu plus chaque jour, un peu moins chaque heures.
J’ai mal, au cœur, et au genou cause d’une rechute malencontreuse, fichu genou qui m’épuise et qui me fait peut être raté la chance de trouver un boulot d’été, enfin non ce n’est pas vrai car le boulot je l’ai trouvé… et zut la flemme.
Je me maudis, moi, ma haine, mon stress et tout ses sentiments qui me rendent humaine, vulnérable et trop sensible, trop conne oui !
Je me maudis de ne pas pouvoir l’oublier, elle, déesse de mes rêves, je ne peux m’empêcher de penser à elle, de me demander ce qu’elle fait et avec qui elle est… mais elle pense t’elle a moi ? Princesse aux cheveux de feu, je t'aime tout autant que je te hais.