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Le temps d'une vie
18 janvier 2007

Cette nuit j’ai rêvé de lui, ça ne m’était pas

Cette nuit j’ai rêvé de lui, ça ne m’était pas arriver depuis très longtemps, et encore je ne suis pas sur que ce soit arrivé un jour, pourtant ça fait un an qu’il n’est plus là. Dans ce songe, il était tel que le souvenir que j’ai de lui, doux, affectueux et toujours aussi beau. Ses caresses, ses câlins, ses baisers me faisaient toujours  autant de bien que de mal, car dans cette illusion comme dans la réalité il allait m’abandonner, partir loin de moi…

Quand je me suis réveillée le bien s’en ai allé loin, le mal est resté, une sensation poignante qui m’enserre le cœur, une déchirure qui commençait seulement à se refermer. Je ne veux même plus chercher à décrypter les envies de mon subconscient, j’ai juste mal. 

Pendant les vacances, c’est comme si quelque part je l’avais retrouvé, pour mieux le reperdre à jamais. Histoire d’un soir, aussi belle que l’était la notre.

« Deux corps entremêlés, respirations coordonnées, souffle mêlés. Elle relève ses cheveux, elle le tente… deux regards qui s’accrochent, qui ne se lâchent plus. Des gestes, des frôlements, caresses sensuelles, plaisirs qui s’entrechoquent. Il parle, elle écoute, sa main dans la sienne dessinant des ronds sur la chair, ils finissent par s’embrasser, papillons dans le ventre, une histoire qui commence sur le siège avant d’une voiture… une histoire bien normale, pas la peine que je précise, cette histoire d’enfant, cette histoire ordinaire, cette histoire d’un soir est déjà finie. On en referai autant si c’était à refaire… ce n’était pas un samedi soir sur la terre, juste un jeudi bien banal, un jeudi merveilleux. »

Rien que ça, et pourtant.

Et puis samedi 13. Concert absolument fantastique de deux groupes varois. Une autre aventure, un petit flirt sans conséquences, des envies asservies à deux corps brûlant de désir, rien que ça et pourtant. Pas de sentiments, jamais d’attachements, l’ange est libre. Flying jack celui qui fait voler les âmes des anges aux ailes cassées.

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Commentaires
O
Je suis content de voir que tu t'ais détaché de tes entraves, que tu es libres, je crois que tu ne souffriras plus des hommes maintenant :d. Par contre je crois que c'est eux qui vont souffrir.
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