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Le temps d'une vie
25 mai 2010

Amours & Désamours

Les litanies enchanteresses de mon mp3 résonne à mes oreilles tandis qu’un verre de vin à la main je suis installée devant l’écran qui me sépare de mes rêves les plus fous, les plus indiscrets. Il doit être dans les alentours de 20h au moment ou cet instant si fugace ce passe, agréable instant fugace. La lumière commence à décliner sur l’appartement, et tout à coup deux mains m’enlace.

Lui, cet être que j’aime tant dans une caresse volubile me dépose un baiser sur le front puis doucement m’incite à me retourner vers son visage fraîchement rasé, j’admire cette peau satinée et si douce, son nez fin qui porte encore une trace de mousse et que j’enlève en riant, mais ce qui plait le plus c’est cette mèche de ses cheveux mi long qui tombe sur ces prunelles d’eau. Sous ses mains d’homme trentenaire, mature et agile, je me sens femme, je me sens vivante. Dans ses bras musclés je me sens protégée et aimée et je sais qu’à ce moment là je n’ai besoin de personnes.

Je lui demande un instant, un tout petit moment encore, à ce bel individu, pour finir d’écrire un nouvel article mais le bellâtre n’en n’as que faire d’un texte destinée à de quelconques inconnus virtuel. Il me veut moi, assez vite dans l’instant présent. Il me fait rire ce joli macho mais je cède si vite que j’en oublie de sauvegarder ce que je venais de taper, tant pis, il y’a des priorités qui n’attende pas ma foi. Il m’enserre, et me porte vers notre cocoon, s’allonge près de moi, sur un lit duveteux et recommence de douces caresses s’arrêtant parfois pour me chatouiller de ces mèches en me faisant des bisous. Nous sommes seuls profitons en, c’est si bon.

J’admire sa peau métissée contre la mienne si blanche, je commence à avoir chaud sous ses caresses de plus en plus poussées, vais-je craquer ? Oui je craque, et même plus. Notre amour est fort, tendre, nos corps enlacés respire au même rythme, nous ne sommes plus là, plus rien n’existe autours de nous, nous faisons l’amour d’une façon qui n’est même pas explicable tant sa douceur m’abrutit, quels instants d’intimité plus tard, toujours enlacés nous nous contemplons, les yeux pleins de désirs papillonnant d’une envie de sommeiller, je sens que les bras de Morphée et je ne cherche pas à lutter, les songes s’empare de moi tandis que l’être à coté de moi fait de même, je ne suis pas inquiète, je sais que même dans notre voyage du sommeil nous nous retrouverons.

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Ce matin quand je me suis réveillée, il n’était déjà plus là, sa seule odeur pour acquis sur les oreillers, ce qui me laisse bien rêveuse, je vis mieux ma vie, j’ai tout pour être heureuse. En ce moment je n’arrête plus de sortir, à droite et à gauche pour profiter au maximum des beaux jours ainsi de la douce chaleur croissante. Cette été je bosse presque tout les jours parfois même le week -end, les jours libres seront donc consacrés à des personnes très chères à mon cœur : mes louloutes, ma famille, et deux trois copains qui passeront peut être.

Pour ce qui est d’une quelconque réponse à une personne qui se reconnaîtra peut être, que dire ? Je ne partage pas ta vision des choses et ne la partagerait jamais. Nous avons certes passer de très bon moments et en aucun cas je rejette ce point là, loin de là. J’ai apprécier ces moments là, clairement et j’espère qui en auras d’autres mais, car un mais existe, je ne viendrais pas te proposer une quelconque sortie de moi-même, et ne viendrait pas plus de moi-même sur MSN te parler car ça à toujours été de ça que je voulait parler.

Je ne suis pas un toutou pour me rabaisser à venir constamment de moi-même sans cesse te proposer quelque chose, c’est peut être cru et cash comme paroles mais ça me lasse de toujours faire des efforts dans notre relation, surtout quand on a l’impression que l’autre en face de nous ce fiche complètement de nous.  Oui je t’apprécie tel que tu es, oui j’ai confiance mais je n’apprécie pas certains points comme celui de mettre en avant que tu m’es fait rencontrer ton entourage, je ne t’es absolument RIEN demander, pour Sophia surtout, pour ton grand frère je le voulait oui je l’avoue, mais pour Léa tu me la gentiment imposer, personnellement… dois je te rappeler que moi, quand j’ai voulu te présenter un être très chère à mon cœur tu ma donner la permission pour finalement nous faire attendre comme des cons pendant des heures parce que tu avais éteint ton téléphone ? Tu crois que j’ai pas été déçue peut être ? Que ça me fait pas chier ?

Encore que techniquement je reste polie car dans mon esprit me vient des mots et des phrases pas très agréable à lire ou à entendre, jamais je crois je ne t’ai insultée outre mesure par des thermes peu prodigieux : cas social par exemple, c’est un mot fort en couleur, mais j’en ris plutôt que je m’en fâche en fait.  Bien que je ne m’en fiche pas outre mesure, je ne reste que peu affectée par cette dispute de bas étage. C’est moi qui l’ai provoquée, oui peut être, on a sûrement nos tords et nos raisons, là n’est pas le problème. Tu es et tu peux rester enfantine, rêveuse, gamine, romantique ou ce que tu veux mais ne t’attribue pas non plus tout les mérites, moi aussi je n’ai pas eu une enfance facile, moi aussi j’ai souffert, et sûrement pas de la même façon que toi. Je ne viole pas ton territoire, j’essaie de le comprendre.

La fin de ce message reste brouillon mais je n’ai plus le temps de faire mieux, j’arrangerai ça peut être plus tard, si le vent m’en dit.

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